En cas de chute, à moto, l’impact est plus important. Durant la nuit, la visibilité est réduite, d’où la nécessité d’optimiser les mesures de sécurité.
être vu avant tout
À moto, la première règle de sécurité est d’être vue par les autres utilisateurs de la route. Pour cela, il faut porter un casque avec des autocollants réfléchissants. Le non-respect de cette loi expose le motard à une amende. Côté vêtement, porter des couleurs claires comme le jaune fluo s’impose. Certes, cela est disgracieux, mais permet aux autres de voir le motard, chose vitale quand on roule la nuit. Autre détail incontournable : des feux bien fonctionnels. Avant le départ, il faut vérifier que les phares, les clignotants et les feux de stop fonctionnent parfaitement.
être un conducteur conscient
Pendant la nuit, tous les chats sont gris. La visibilité est réduite et la concentration parfois laisse à désirer avec la fatigue. Ainsi, pour réduire les risques d’accident, il faut être consciencieux en conduisant. Pour cela, il faut augmenter les distances de sécurité. Dans le noir, il est difficile de voir et d’anticiper les obstacles. Par ailleurs, avant chaque changement de fil, le motard doit prévenir les personnes derrière lui avec ces clignotants. Quand on roule la nuit, il faut rester sur le qui-vive. Oui, c’est fatigant, mais c’est vital.
prendre ses précautions
Quand on roule à moto pendant la nuit, il faut être très prudent. Avoir un téléphone mobile avec de la batterie serait d’une grande aide en cas de panne ou d’accident sur la route. En effet, pendant la nuit, il y aura peu de personnes qui vont utiliser la route. Pendant les arrêts mobilisateurs, il faut penser à porter un gilet jaune réfléchissant pour être bien visible de loin. L’idéal c’est aussi de laisser les phares allumés bien sur si la batterie le permet.
